Depuis quelques mois, influencé par Madmen, j’ai complètement changé ma garde-robe. Je porte maintenant des complets pour aller travailler et je ne sors plus au restaurant sans une cravate.
Du coup, c’est comme si je venais de développer un nouveau sens. Je remarque maintenant des nuances vestimentaires qui m’échappaient complètement auparavant. À quel point le président Jed Bartlett porte souvent des chemises bleues pâles dans The West Wing. Ou comment la façon dont Don les personnages mascuins de Madmen portent le mouchoir de poche (ou ne le porte pas dans le cas de Pete Campbell) s’accorde avec leur personnalité.
L’autre jour, j’accrochais soigneusement mes belles chemises sur des supports… et soudain j’ai remarqué pour la première fois ceci.
Ce n'est pas très clair sur la photo, mais c'est écrit «Edmond F» sur le support. Pour Edmond Fortin, mon grand-père paternel que je n’ai pas connu parce qu’il est mort peu de temps après ma naissance, au début des années 70. J’ai vraiment eu un choc en réalisant que mon support en bois lui avait certainement déjà appartenu. Selon toute vraisemblance, c’est mon père qui l’a «emprunté» au sien quand il a quitté la maison pour s’installer avec ma mère dans leur première maison. Ça nous ramène aux années 60.
J’imagine que le support a fini par aboutir dans le garde-robe de ma chambre d'enfant puisque je suis parti avec quand j’ai déménagé à Montréal en 1989 pour étudier à l’université.
Ensuite, il m’a suivi dans plusieurs appartements. Sur la rue Plamondon dans Côte-des-Neiges. Sur Saint-André près du métro Rosemont. Sur Mentana face au parc Laurier. Dans le grande tour ressemblant à un briquet Bic, coin Sherbrooke et Berri. Sur De Champlain, coin Ontario. Sur Beaudry, entre Maisonneuve et Ontario. Sur Querbes, coin Laurier. Et finalement ici sur l’île Perrot, dans ma première maison.
Pendant tout ce temps, je n’ai jamais réalisé que j’avais en ma possession un objet qui avait appartenu à mon grand-père. Et je suis pas mal sûr que je ne m’en serais jamais rendu compte si Madmen ne m'avait pas donné le goût de m'habiller mieux.
31.1.10
26.1.10
La journée du hockey
Samedi dernier, il faisait grand soleil et juste un peu froid, alors on a fait une sortie en famille à la patinoire du parc Valois, sur le lac des Deux-Montagnes.
C’était la première fois que fiston Arthur jouait au hockey sur de la glace. Il a vite compris qu’il devait se déplacer prudemment.
Cette leçon absorbée, il s’est bien amusé à exécuter des lancers frappés avec son petit bâton en plastique. Pour l’instant, au hockey, le style de jeu d’Arthur s’apparente à celui de Brett Hull. Il aime se planter quelque part sur la patinoire pour que je lui passe la rondelle. Et lui décoche des tirs dans toutes les directions.
Même si j’aime bien le hockey, je ne pense que je vais inscrire fiston au hockey mineur quand il aura l’âge pour ça. C’est tout un univers qui ne me dit rien qui vaille. Par contre, j’aimerais bien qu’il apprenne à patiner et à manier le bâton comme je l’ai appris avec mon père en m’amusant sur la glace qu’il faisait dans notre cours. Heureusement, il y a une patinoire extérieure juste à côté de chez nous. Peut-être que je devrais fonder une ligue de hockey père et fils…
C’était la première fois que fiston Arthur jouait au hockey sur de la glace. Il a vite compris qu’il devait se déplacer prudemment.
Cette leçon absorbée, il s’est bien amusé à exécuter des lancers frappés avec son petit bâton en plastique. Pour l’instant, au hockey, le style de jeu d’Arthur s’apparente à celui de Brett Hull. Il aime se planter quelque part sur la patinoire pour que je lui passe la rondelle. Et lui décoche des tirs dans toutes les directions.
Même si j’aime bien le hockey, je ne pense que je vais inscrire fiston au hockey mineur quand il aura l’âge pour ça. C’est tout un univers qui ne me dit rien qui vaille. Par contre, j’aimerais bien qu’il apprenne à patiner et à manier le bâton comme je l’ai appris avec mon père en m’amusant sur la glace qu’il faisait dans notre cours. Heureusement, il y a une patinoire extérieure juste à côté de chez nous. Peut-être que je devrais fonder une ligue de hockey père et fils…
16.1.10
Mon plus beau cadeau de Noël...
C'est ce bec que fiston Arthur m'a donné quand je lui ai offert pour qu'on puisse s'habiller pareil dans les grandes occasions.
C'était pas mal drôle le soir de Noël parce qu'on s'est caché dans une chambre pour se «déguiser» tous les deux. Arthur n'en revenait pas d'avoir sa chemise, son veston, sa petite cravate et son mouchoir de poche. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on a fait fureur en sortant de la chambre.
C'était pas mal drôle le soir de Noël parce qu'on s'est caché dans une chambre pour se «déguiser» tous les deux. Arthur n'en revenait pas d'avoir sa chemise, son veston, sa petite cravate et son mouchoir de poche. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on a fait fureur en sortant de la chambre.
12.1.10
Cosmopolitan
J’ai acheté ce qu’il faut pour confectionner un Cosmopolitan pour une seule raison : avoir un cocktail à offrir à ma blonde. La pauvre n’apprécie pas tellement les «cocktails pour homme» comme le Old Fashioned ou le Manhattan. Alors j’ai eu l’idée de lui préparer le «cocktail de fille» par excellence.
Cosmopolitan
- 1 1/2 oz de vodka
-3/4 oz de liqueur d'orange
-3/4 oz de jus de lime
-1/2 oz de jus de canneberge
On passe tout ça au shaker avec des glaçons puis on sert dans un verre à martini.
Mon barman préféré l’explique très bien...
Idéalement, il faut faire comme Chris et utiliser de la vodka parfumée au citron. Mais on peut aussi employer de la vodka ordinaire. C’est ce que j’ai fait et j’ai bien aimé le résultat. La robe rose est très élégante et le goût est à la fois fruité et un brin amer.
Ça fait changement un soir de temps en temps…
Cosmopolitan
- 1 1/2 oz de vodka
-3/4 oz de liqueur d'orange
-3/4 oz de jus de lime
-1/2 oz de jus de canneberge
On passe tout ça au shaker avec des glaçons puis on sert dans un verre à martini.
Mon barman préféré l’explique très bien...
Idéalement, il faut faire comme Chris et utiliser de la vodka parfumée au citron. Mais on peut aussi employer de la vodka ordinaire. C’est ce que j’ai fait et j’ai bien aimé le résultat. La robe rose est très élégante et le goût est à la fois fruité et un brin amer.
Ça fait changement un soir de temps en temps…
2.1.10
Margarita
Pour mieux fêter Noël cette année, j’ai décidé d’amener quelques bouteilles sur la Côte-Nord et de jouer les barmans au party chez mes parents.
Malheureusement, je ne pouvais pas traîner tout mon stock. Alors j’ai choisi d’amener ce qu’il fallait pour préparer deux cocktails: le martini et le margarita. Le martini parce que c’est un grand classique. Et le margarita parce que c’est un des cocktails les plus populaires au monde.
J’ai bu mon premier margarita dans un restaurant mexicain il y a à peu près un mois et je suis tout de suite devenu un fan. C’est un cocktail qui a moins de classe que le martini ou le Old Fashioned, mais grand dieu que c’est bon. La saveur riche de la tequila et l’acidité du jus de lime forment une combinaison extraordinaire.
Pour la recette, je me fie à mon barman préféré…
Margarita
-1 1/2 onze de tequila
-3/4 onze de liqueur d'orange
-3/4 onze de jus de lime
-Une pincée de sucre
Quand on est moins habile que Chris, mieux vaut commencer par givrer le bord de son verre en frottant le bord extérieur avec un quartier de lime puis en le roulant dans une soucoupe contenant du sel. Ensuite, on place les ingrédients dans le shaker et on les secoue avec une bonne quantité de glace. Puis on met de la glace fraîche dans son verre et on ajoute la mixture.
Pour un look plus différent, on peut préparer un margarita avec du Curaçao bleu, une liqueur d’orange qui s'apparente au Cointreau ou du Triple Sec malgré sa couleur différente. Si c’est bleu plutôt que transparent, c’est simplement parce qu’on y ajoute du colorant.
Pour faire différent, j'aime bien servir mes margaritas bleu «straight up» plutôt que sur glace, dans un verre à cocktail. Ça donne un verre élégant et spectaculaire.
Malheureusement, je ne pouvais pas traîner tout mon stock. Alors j’ai choisi d’amener ce qu’il fallait pour préparer deux cocktails: le martini et le margarita. Le martini parce que c’est un grand classique. Et le margarita parce que c’est un des cocktails les plus populaires au monde.
J’ai bu mon premier margarita dans un restaurant mexicain il y a à peu près un mois et je suis tout de suite devenu un fan. C’est un cocktail qui a moins de classe que le martini ou le Old Fashioned, mais grand dieu que c’est bon. La saveur riche de la tequila et l’acidité du jus de lime forment une combinaison extraordinaire.
Pour la recette, je me fie à mon barman préféré…
Margarita
-1 1/2 onze de tequila
-3/4 onze de liqueur d'orange
-3/4 onze de jus de lime
-Une pincée de sucre
Quand on est moins habile que Chris, mieux vaut commencer par givrer le bord de son verre en frottant le bord extérieur avec un quartier de lime puis en le roulant dans une soucoupe contenant du sel. Ensuite, on place les ingrédients dans le shaker et on les secoue avec une bonne quantité de glace. Puis on met de la glace fraîche dans son verre et on ajoute la mixture.
Pour un look plus différent, on peut préparer un margarita avec du Curaçao bleu, une liqueur d’orange qui s'apparente au Cointreau ou du Triple Sec malgré sa couleur différente. Si c’est bleu plutôt que transparent, c’est simplement parce qu’on y ajoute du colorant.
Pour faire différent, j'aime bien servir mes margaritas bleu «straight up» plutôt que sur glace, dans un verre à cocktail. Ça donne un verre élégant et spectaculaire.
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