Je cherche un joueur pour mon équipe. C'est du calibre intermédiaire et on joue le mardi et jeudi au parc Laurier et ailleurs à Montréal. C'est votre chance de faire partie de cette belle gang de gars...
Si ça vous intéresse, écrivez-moi: barclayf@gmail.com
29.4.07
28.4.07
Dossier kayak
Depuis quelques semaines, je pense très fort à acheter un kayak. J'ai l'impression que c'est exactement l'embarcation qu'il me faut pour explorer les nombreux plans d'eau près de chez moi. Le problème, c'est que j'ai déjà deux bateaux: une chaloupe à gros moteur hord-bord et un canot pneumatique. Mais je les trouve compliqués à utiliser. Je pense que je ferais plus de navigation avec un kayak que je pourrais transporter facilement en auto et mettre à l'eau en quelques minutes.
Mon autre problème, c'est que je ne sais pas quel genre de kayak acheter. Je n'ai pas envie d'acheter un porte-bagage et de trimbaler un kayak sur le toit de ma voiture. J'ai donc tendance à pencher du côté d'un kayak gonflable. Sauf qu'il y a ausi des désavantages aux gonflables. Des fois, ça perce et ça dégonfle. Et ils sont moins performants que leurs cousins à coque rigide.
Ce que je veux, c'est un kayak «sit-on top» très stable pour faire de courtes randonnées et de la plongée en apnée. Pour le moment, j'ai un faible pour le Yakka de Bic - une firme qu'on connaît davantage pour ses stylos.
Le Yakka est un kayak hybride qui possède une coque rigide et un hourlet gonflable qui doit certainement le rendre très stable. C'est aussi un kayak pliant. Sa coque rigide se plie en deux et se referme sur elle-même comme une valise. On peut donc facilement le transporter dans le coffre de sa voiture. C'est un beau jouet... qui vaut pas loin de 1000$. Alors j'hésite...
Mon autre problème, c'est que je ne sais pas quel genre de kayak acheter. Je n'ai pas envie d'acheter un porte-bagage et de trimbaler un kayak sur le toit de ma voiture. J'ai donc tendance à pencher du côté d'un kayak gonflable. Sauf qu'il y a ausi des désavantages aux gonflables. Des fois, ça perce et ça dégonfle. Et ils sont moins performants que leurs cousins à coque rigide.
Ce que je veux, c'est un kayak «sit-on top» très stable pour faire de courtes randonnées et de la plongée en apnée. Pour le moment, j'ai un faible pour le Yakka de Bic - une firme qu'on connaît davantage pour ses stylos.
Le Yakka est un kayak hybride qui possède une coque rigide et un hourlet gonflable qui doit certainement le rendre très stable. C'est aussi un kayak pliant. Sa coque rigide se plie en deux et se referme sur elle-même comme une valise. On peut donc facilement le transporter dans le coffre de sa voiture. C'est un beau jouet... qui vaut pas loin de 1000$. Alors j'hésite...
23.4.07
Sur le gril: poulet tikka
De toutes les recettes exotiques que j’ai adaptées pour le BBQ, c’est sans doute celle-là qui donne le meilleur résultat. Je marine mon poulet comme l’indique Yvon Tremblay dans son livre Découvrir la cuisine indienne. Pour deux poitrines de poulet découpés en morceaux, il faut une tasse de yogourt nature, une cuillerée à soupe d’ail écrasé, autant de gingembre haché, deux cuillerées a soupe de jus de citron, une cuillérée à thé de cumi moulu, du sel et du poivre. L’important, c’est de laisser mariner l’oiseau longtemps – toute une nuit de préférence. On cuit ensuite ça à feux moyen-vif sur le gril. Excellent avec un cari de légumes, du riz et du chutney à la mangue.
21.4.07
Le Vieux Kitzbüel
Hier soir, on a mangé pour la première fois de l’été sur une terrasse. C’était au Vieux Kitzbüel, le plus agréable restaurant sur l’île Perrot.
C’est un restaurant autrichien où on entend fréquemment parler allemand. Sa terrasse est située directement au bord de l’eau et on a une très belle vue sur Sainte-Anne-de-Bellevue et le lac Saint-Louis. Hier soir, on a eu droit à un spectacle inusité: un énorme rat musqué est passé en nageant à deux ou trois mètres de notre table.
Le restaurant lui-même semble sortir tout droit des Alpes, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. On y mange très bien C’est un vaste bâtiment de deux étages divisé en six salles à dîner décorées à l’autrichienne.
La cuisine est excellente. Il y a des plats traditionnels tyroliens, comme la choucroute garnie, et aussi du poisson et des fruits de mers. Le complément parfait au seul autre restaurant de l’île Perrot que j’aime vraiment: Smoke Meat Pete.
C’est un restaurant autrichien où on entend fréquemment parler allemand. Sa terrasse est située directement au bord de l’eau et on a une très belle vue sur Sainte-Anne-de-Bellevue et le lac Saint-Louis. Hier soir, on a eu droit à un spectacle inusité: un énorme rat musqué est passé en nageant à deux ou trois mètres de notre table.
Le restaurant lui-même semble sortir tout droit des Alpes, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. On y mange très bien C’est un vaste bâtiment de deux étages divisé en six salles à dîner décorées à l’autrichienne.
La cuisine est excellente. Il y a des plats traditionnels tyroliens, comme la choucroute garnie, et aussi du poisson et des fruits de mers. Le complément parfait au seul autre restaurant de l’île Perrot que j’aime vraiment: Smoke Meat Pete.
20.4.07
Lecture: L'insoutenable légèreté de l'être
Okay, je suis en retard. Mais peu importe: j’ai eu un plaisir fou à lire ce roman de Milan Kundera paru en 1984. J’ai beaucoup aimé la façon dont le livre viole les sacro-saintes lois du réalisme. Par exemple, le narrateur admet à plusieurs reprises que les protagonistes de son histoire sont des personnages qu’il a inventé. J’ai dit «narrateur», mais au fond je devrais plutôt parler de Kundera. C’est lui qui nous parle directement dans ce roman.
Je suis dans une passe Kundera. J’ai lu d’une traite Le Rideau, un essai lumineux sur l’histoire du roman qu’il a fait paraître en 2005. Comme L’insoutenable légèreté de l’être, le livre est divisé en sept parties et composé de très courts chapitres qu’on dévore les uns après les autres. Génial.
J’ai aussi relu L’Art du Roman, un recueil de textes de Kundera sur l’écriture romanesque. Kundera dit là-dedans que la seule bonne raison d’écrire un roman, c’est de dévoiler un aspect encore inconnu de l’existence humaine. Ça serait vraiment agréable si tous les auteurs adhéreraient à ce principe. Ça nous épargnerait entre autres tous ces romans sur les relations homme-femme qui répètent inlassablement les mêmes clichés: les gars ne pensent qu’à faire des conquêtes, les filles veulent faire des bébés, etc.
Je suis dans une passe Kundera. J’ai lu d’une traite Le Rideau, un essai lumineux sur l’histoire du roman qu’il a fait paraître en 2005. Comme L’insoutenable légèreté de l’être, le livre est divisé en sept parties et composé de très courts chapitres qu’on dévore les uns après les autres. Génial.
J’ai aussi relu L’Art du Roman, un recueil de textes de Kundera sur l’écriture romanesque. Kundera dit là-dedans que la seule bonne raison d’écrire un roman, c’est de dévoiler un aspect encore inconnu de l’existence humaine. Ça serait vraiment agréable si tous les auteurs adhéreraient à ce principe. Ça nous épargnerait entre autres tous ces romans sur les relations homme-femme qui répètent inlassablement les mêmes clichés: les gars ne pensent qu’à faire des conquêtes, les filles veulent faire des bébés, etc.
19.4.07
Méchant gardien
En regardant le match de hockey entre Ottawa et Pittsburgh, j’ai réalisé que Ray Emery des Sénateurs faisait partie d’une espèce en voie de disparition: le gardien de but avec un problème d’attitude.
J’aime bien les «goalers» qui défendent leur espace vital à coups de bâton et ont un penchant pour la bagarre. C’était le style de mon gardien favori de tous les temps: le méchant Billy Smith, qui a gagné quatre coupes Stanley avec les Islanders. Smith se servait souvent de son bâton. C’était aussi un maître dans l’art de faire semblant d’avoir été touché par un bâton pour faire prendre des punitions à l’adversaire.
Les méchants gardiens n’ont jamais été nombreux, mais il me semble qu’ils sont encore plus rares aujourd’hui. Ron Hextall a été le seul aussi pire que Billy Smith. Qui se souvient de la fois où il avait quitté son filet pour attaquer Chris Chelios du Canadien alors que celui-ci entrait en zone adverse avec la rondelle?
Daniel Bouchard avait mauvais caractère lui aussi. Même chose pour Al Smith, Gerry Cheevers et Ed Belfour.
J’aime bien les «goalers» qui défendent leur espace vital à coups de bâton et ont un penchant pour la bagarre. C’était le style de mon gardien favori de tous les temps: le méchant Billy Smith, qui a gagné quatre coupes Stanley avec les Islanders. Smith se servait souvent de son bâton. C’était aussi un maître dans l’art de faire semblant d’avoir été touché par un bâton pour faire prendre des punitions à l’adversaire.
Les méchants gardiens n’ont jamais été nombreux, mais il me semble qu’ils sont encore plus rares aujourd’hui. Ron Hextall a été le seul aussi pire que Billy Smith. Qui se souvient de la fois où il avait quitté son filet pour attaquer Chris Chelios du Canadien alors que celui-ci entrait en zone adverse avec la rondelle?
Daniel Bouchard avait mauvais caractère lui aussi. Même chose pour Al Smith, Gerry Cheevers et Ed Belfour.
15.4.07
The Office USA
J'ai été agréablement surpris par la version américaine de The Office. Je viens de voir les six premiers épisodes de cette série et j'ai presque autant aimé ça que la version originale britannique.
Steve Carell réussit l'exploit de créer un autre personnage de patron ridicule sans imiter Ricky Gervais. Ce patron-là est plus humain que l'original. Ce qu'il cherche avant tout, c'est se faire aimer. Ça le rend plus sympatique que l'original, qui lui veut avant tout prouver qu'il a ce qu'il faut pour réussir dans le monde du spectacle.
Les auteurs ont fait le même bon travail d'adaptation pour tous les personnages. Dwight est aussi insupportable que Gareth, mais d'une façon différente. Même chose pour Jim et Pam, qui n'ont rien à envier à Tim et Dawn.
Autre différence: cette version mise moins sur le malaise et les longs silences inconfortables pour nous faire rire. On rit plus souvent de bon coeur.
Bref, on a affaire à une adaptation bien réussie. Rien à voir avec la version québécoise, qui tient davantage du «calque» que de l'adaptation.
Steve Carell réussit l'exploit de créer un autre personnage de patron ridicule sans imiter Ricky Gervais. Ce patron-là est plus humain que l'original. Ce qu'il cherche avant tout, c'est se faire aimer. Ça le rend plus sympatique que l'original, qui lui veut avant tout prouver qu'il a ce qu'il faut pour réussir dans le monde du spectacle.
Les auteurs ont fait le même bon travail d'adaptation pour tous les personnages. Dwight est aussi insupportable que Gareth, mais d'une façon différente. Même chose pour Jim et Pam, qui n'ont rien à envier à Tim et Dawn.
Autre différence: cette version mise moins sur le malaise et les longs silences inconfortables pour nous faire rire. On rit plus souvent de bon coeur.
Bref, on a affaire à une adaptation bien réussie. Rien à voir avec la version québécoise, qui tient davantage du «calque» que de l'adaptation.
2.4.07
Fausse note
Quand on écrit pour la télé, il faut s’habituer à ce que nos textes soient lus et critiqués par un paquet de monde.
À l’émission où je travaille présentement, mes textes sont lus et annotés par au moins personnes: un collègue scénariste, le réalisateur, la productrice et une représentante du diffuseur. Ça fait beaucoup de notes à comprendre et à essayer de satisfaire.
Première bonne nouvelle: d’après mon expérience, un texte s’améliore toujours au fil de ce processus… si on sait décoder les commentaires et les appliquer sans dénaturer son «œuvre».
Deuxième bonne nouvelle: parfois, on s’amuse beaucoup à lire certaines notes griffonnéees à chaud par un lecteur. La plus drôle que j’ai trouvé en marge d’un de mes textes ressemblait à ça:
Ce qu’il y a d’amusant là-dedans, c’est qu’on sent le cerveau de la personne en marche. D’abord, elle n’a pas trouvé ça bon. Ensuite, elle a changé d’idée. Une vraie petite histoire…
À l’émission où je travaille présentement, mes textes sont lus et annotés par au moins personnes: un collègue scénariste, le réalisateur, la productrice et une représentante du diffuseur. Ça fait beaucoup de notes à comprendre et à essayer de satisfaire.
Première bonne nouvelle: d’après mon expérience, un texte s’améliore toujours au fil de ce processus… si on sait décoder les commentaires et les appliquer sans dénaturer son «œuvre».
Deuxième bonne nouvelle: parfois, on s’amuse beaucoup à lire certaines notes griffonnéees à chaud par un lecteur. La plus drôle que j’ai trouvé en marge d’un de mes textes ressemblait à ça:
Ce qu’il y a d’amusant là-dedans, c’est qu’on sent le cerveau de la personne en marche. D’abord, elle n’a pas trouvé ça bon. Ensuite, elle a changé d’idée. Une vraie petite histoire…
1.4.07
Sur le gril: saumon à l’unilatérale
Le poisson, c’est ce que je trouve le plus difficile à réussir sur le BBQ. Je me souviens d’avoir presque entièrement perdu à travers mon gril un précieux filet de bar rayé qui se défaisait quand j'essayais de le retourner.
La cuisson unilatérale permet d’éviter ce genre de problème. C’est simple: on prend un filet avec la peau et on le fait cuire sans le retourner, côté peau, avec le couvert du BBQ fermé pour que la face supérieure cuise elle aussi.
J’ai essayé ça aujourd’hui avec un filet de saumon. Tel qu'indiqué, j'ai enduit la peau d’huile d’olive avant de déposer le filet sur grill. Sur l’autre face, j’ai mis le glaçage qu’on fait toujours pour le saumon: quatre ou cinq cuillerées de mayonnaise mélangée à une cuillerée de moutarde de maux, de moutarde de dijon et de miel.
J’ai fait cuire le filet une quinzaine de minutes à feu moyen. C’était pas mal, mais pas grandiose. En fait, ça ressemblait beaucoup à du poisson cuit au four. En accompagnement, j’ai fait des grelots sur le BBQ. La technique est simple: on fait quelques trous dans les patates avec une fourchette, on les enduit de beurre fondu, on les sale abondamment, puis on les met sur le gril pour au moins trente minutes.
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